On croit souvent que travailler plus, c’est avancer plus vite.
Mais la science et l’expérience des entrepreneures montrent exactement l’inverse.
Le temps de travail optimal selon la science
Des études scientifiques montrent que notre cerveau fonctionne au mieux lorsqu’on limite :
- à 5 à 6 heures de travail intellectuel concentré par jour,
- sur un rythme de 4 jours par semaine.
Soit un total idéal de 20 à 24 heures de travail par semaine pour maintenir productivité, clarté mentale, et bien-être général.
Les effets de trop travailler (au-delà de 30h/semaine)
Quand on dépasse ces seuils, les conséquences sont réelles — et sérieuses :
- Fatigue chronique, erreurs fréquentes, perte de clarté mentale
- Risques cardiovasculaires, troubles anxieux, burn-out
- Baisse de la qualité de vie, perte de motivation
- Productivité en chute libre à long terme
En clair : tu travailles plus, pour produire moins et t’épuiser plus.
Ce que tu devrais faire en dehors du travail (et que tu ne fais plus)
Pour une vie vraiment équilibrée, ces 20–25 heures de travail doivent être complétées par :
- Activité physique (marche, sport, yoga)
- Sommeil réparateur et moments de repos
- Créativité libre (dessin, cuisine, musique…)
- Relations sociales nourrissantes
- Temps calme et déconnexion (lecture, méditation…)
Mais soyons honnête : quand tu travailles 50h, tu ne fais plus rien de tout ça.
La réalité du temps de travail chez les indépendantes
- En France, un indépendant travaille en moyenne 46 heures par semaine
- En Belgique, c’est 57 heures en moyenne
- 76 % dépassent les 50 heures/semaine,
- 1 sur 10 atteint 80 heures ou plus !
Tu lis bien.
On est deux à trois fois au-dessus du seuil recommandé pour préserver sa santé mentale et sa clarté d’esprit.
Et si on arrêtait de croire que “plus = mieux” ?
Pourquoi continue-t-on à vivre comme si l’épuisement était une preuve d’engagement ?
Pourquoi accepte-t-on de devenir prisonnières de notre propre planning alors qu’on a choisi la liberté entrepreneuriale ?
Et si tu n’avais pas besoin de travailler moins, mais simplement de faire autrement ?
Déléguer, c’est une une stratégie, pas un luxe
Tu ne peux pas réduire ta charge de travail si tu continues à tout porter seule.
Ton agenda est rempli d’administratif, de mails à traiter, de factures à émettre, de bugs à régler…
Tu n’es pas censée tout faire.
Déléguer, ce n’est pas un luxe. C’est une nécessité.
C’est ce qui te rend du temps, de la clarté, de la sérénité.
Et toi, que ferais-tu avec 2 heures de plus chaque semaine ?
Que ferais-tu avec 2 heures de plus chaque semaine ?
Pas 2 heures volées à ton dimanche.
Pas grattées sur tes soirées.
Mais 2 vraies heures libérées :
- Pour créer une nouvelle offre,
- Pour prendre soin de toi,
- Pour souffler.
Combien paierais-tu pour ça ?
50€ ? 80€ ? Plus ?
Si tu pouvais acheter chaque semaine 2 heures de vraie liberté, tu ne les estimerais pas à 20€…
Parce que ce temps est rare, précieux, et vitale quand tu frôles le trop-plein.
On ne paie pas une assistante pour les tâches qu’elle fait.
On la paie pour ce qu’elle te rend : du temps, de l’énergie, de l’espace mental.
Et ça, ça n’a pas de prix.
Pour aller plus loin sur la délégation intelligente :
Déléguer à une assistante virtuelle : le vrai déclic pour sortir la tête de l’eau
Déléguer avec un petit budget : c’est possible (et stratégique)
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